Si tôt arriver et déjà un danger [libre]

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Le jeune garçon se trouvait devant la grille de l’école et avait une boule dans le ventre. C’était un nouveau monde qui s’ouvrait à lui et cela le terrifiait, il ne savait rien a proprement parlé de se monde. Il avait beau avoir quitté sa mère il y a six mois de cela, il avait continué de vivre comme un ermite et n’avait donc pas brisé ses barreaux de sa cage. Il aspirait à devenir comme le vent, être libre. Et c’est plongé dans toute ses pensé que Sora ouvrit la grille et la franchit.

Après quoi il fit se que tout nouveau devait faire, aller au secrétariat pour récupéré quelques document, comme le plans de l’établissement ainsi que l’emploie du temps. Et on lui donnait aussi quelque chose de très important, les clefs de sa chambre ! Et l’instant d’après il réalisa quelque chose de très grave, il ne serait pas seul dans sa chambre. Sora avait beau avoir envie de s’approcher des autres mais pas à se point. Etre proche en permanence de personne de sexe masculin lui faisait réellement peur. Il avait peur de ne pas savoir agir en tant que tel, de faire des choses déplacé, puis qu’on lui pose des questions sur sa vie passé. Enfin, il se disait qu’il verrait tous cela plus tard, le plus tardivement possible.

Il s’engouffra alors dans le grand couloir et monta à l’étage ou semblait être les chambre. Une fois dans le couloir contenant toute les chambres il s’arrêta devant celle qui portait le numéro un, la sienne. C’était avec une très forte angoisse qui atteint son paroxysme lorsqu’il toucha la poigner de porte et entama l’action qui ouvrit la dite-porte. Sora en tremblait presque en ouvrant la porte mais il pu accomplir cette action jusqu’au bout car il y avait peu de risque que quelqu’un soit actuellement dans la chambre. Et là, la porte s’ouvrit et le jeune garçon pu enfin admirer la chambre.

La pièce était bien trop, grande, luxueuse, riche, moelleuse, coquette ! Ce ne lui ressemblait en rien, Sora avait toujours eu l’habitude de quelque chose de sombre, peu confortable, pour faire simple une chambre spartiate. Une telle chambre lui plaisait tout en lui faisant peur. Est-ce que dormir en se lieu ce n’était pas rejeter son passé. En son lui intérieur il savait bien que non, que c’était juste un changement logique mais cela ne l’empêchait point d’avoir peur.

Il analysa un peu plus la chambre, il y avait un totale de cinq lit, il avait tous la capacité d’accueillir deux personnes, il était tous posé sur un tapis extrêmement moelleux qui devait s’enfoncé de quelque centimètre lorsque l’on marchait dessus. Le plafond semblait touché le ciel tellement il était haut. Sora reprit enfin ses esprits et pensa qu’il devait bien sur s’installer. Alors que l’ancien futur dévoré cherchait quel lit lui était destiné et remarqua alors qu’il n’y en avait qu’un seul qui paraissait être occupé. C’est bien étrange et ça ajoutait un certain malaise car si jamais il n’était que deux il serait presque obligé d’avoir une conversation.

Vu qu’il avait le choix il prit en premier celui qui était le plus loin de l’autre locataire, mais après réflexion il se dit qu’il valait mieux être proche sinon ça n’apporterait que plus de questions et puis montrerait une méfiance réelle de Sora envers cette autre garçon. Une fois le lit choisit il vida ses deux valise, rangea toutes ses affaire dans l’armoire qui lui était destiné et à coté de son lit il plaça une tablette en l’honneur de sa grande déesse et se mit alors en sous-vêtement pour être plus allaise dans sa prière purificatrice. Car se lieu était impure, il alluma quatre bâtons d’encens qu’il plaça autour de lui, se mit en position du lotus et commença alors sa prière.

Sora qui était alors en tailleur commença à psalmodier en japonais une longue prière qui avait bien entendu pour but de purification de la pièce. Le tout était très calme mais très vite Sora se perdu dans sa liturgie et son énergie se libéra quelque peu contre sa volonté et le prêtre se mit à flotter sous la force d’un vent nouveau dans la pièce. Vent qui peu à peu devenait de plus en plus violent au point de faire claquer la porte. Le jeune garçon aux cheveux bleu ne se contrôlait plus, il commençait d’ailleurs à en souffrir, son corps avait été fatigué par le voyage et le stresse, il savait bien qu’il aurait du attendre avoir de prier mais ça avait été plus fort que lui. Si personne n’intervenait rapidement Sora risquait très certainement d’avoir des problèmes, mais pas que lui, le vent qu’il venait de déclenché risquait de causer des dommages collatéraux assez important.

La chambre ressemblait déjà à un champ de bataille, tournoyait dans les airs couverture et oreillers, les lits commençait à trembler dangereusement, tous comme les armoires. La pauvre tablette qu’il venait de placer c’était fracasser contre le mur. Et la d’un coup sec la porte s’ouvra et s’envola à son tours.

Dimanche, 16h. Yuuki montait dans le train en tirant sa grosse valise. Son frère, ou plutôt le fils de ses parents adoptifs, l’aida à la hisser jusque dans le wagon. Yuuki s’apprêtait à se rendre à Kyoto, direction le lycée dans lequel il passerait au mieux (et il l’espérait) les trois prochaines années. Les deux frères s’enlacèrent pour un câlin fraternel, et se séparèrent, Yuuki restant seul dans le train. Son billet à la main, il chercha sa place en avançant, pour la trouver tout à l’autre bout du wagon. Par chance, il avait été placé côté fenêtre. Il avait horreur d’être côté couloir. Quoique, ça avait l’avantage de pouvoir se lever à sa guise sans gêner la personne à côté. Mais pour un trajet pas si long que ça, il n’avait pas besoin de se lever entre le départ et l’arrivée. Il chercha alors des yeux son frère et sa famille, et leur fit un signe de la main, tandis que le train commençait à avancer, quittant lentement son quai.

Environ une heure et demie plus tard, le train arrivait en gare de Kyoto. Yuuki se dépêcha d’aller récupérer sa valise et descendre du wagon. Dans ces moments là, il était toujours stressé de ne pas avoir le temps de descendre, et avait tendance à bourrer un peu les gens autour, leur passant devant pour descendre avant. Il se retrouvait à présent dans une gare inconnue, d’une ville inconnue. Il sortit de sa poche un papier sur lequel figuraient des indications sur le chemin et le bus à prendre pour se rendre au lycée, que sa « mère » lui avait fait. Ce fut un peu galère, mais il finit par arriver à bonne destination sans trop d’encombre. Le jeune homme se sentait heureux, il allait de nouveau pouvoir être proche de son frère. Il lui avait fallu quelques semaines avant de réussir à convaincre ses parents de le laisser aller dans la même ville où étudiait Hideki. Celui-ci d’ailleurs ne l’avait pas accompagné dans le train, car il ne reprenait les cours que le mardi après midi (le chanceux !), et avait préféré rester passer son week-end à Osaka. Yuuki en était un peu triste, mais il se réjouissait, dans l’idée de le revoir bientôt, autant qu’il le voudrait, et surtout sans avoir besoin de se cacher en étant « chez eux ».

Yuuki, en arrivant dans le hall, se dirigea vers le plan du bâtiment pour savoir où se trouvaient les chambres. Il n’avait pas besoin d’aller quelque part en particulier, il avait reçu par courrier quelques jours plus tôt son emploi du temps, ainsi que le numéro de sa chambre, et quelques diverses informations concernant le fonctionnement de l’établissement. Il se rendit donc au premier étage, tout en trainant sa valise, commençant d’ailleurs à fatiguer.

Arrivé en haut des escaliers, il fut attiré (et ne pouvait pas ne pas l’être) par un boucan d’enfer provenant d’une des chambres. Un bruit de vent, de casse, un bruit assez familier pour lui. Il sut tout de suite ce qui pouvait se passer quelque part pas bien loin. Après quelques secondes d’attention, Yuuki, qui s’était arrêté, reprit son chemin en direction de sa chambre en haussant les épaules. Après tout, ce n’était pas son problème. Il regarda le numéro indiqué sur la porte la plus proche. La une. Tant mieux, c’est là qu’il allait. Alors qu’il allait s’approcher, la porte s’ouvrit à la volée, se décrochant de ses gonds pour aller s’écraser contre le mur du couloir en face. Par chance, Yuuki n’était pas dans son chemin, et l’échappa belle. Laissant ses affaires dans le couloir, il se précipita dans la chambre pour voir ce qui se passait. Il lui semblait que cela ressemblait plus à une bataille, mais il fut surpris de ne voir, au milieu de tout ce bazar, qu’une seule personne, immobile dans son lit, semblant ignorer tout ce qui se passait autour. Il était évident qu’il était la cause de tout ça.

Yuuki resta planté là quelques instants à contempler la scène. En temps normal, il aurait totalement ignoré une pareille scène et aurait passé son chemin. Mais là, il s’agissait quand même de SA chambre ! Et il ne supportait pas le bordel. Le mec non plus d’ailleurs, il ne l’aimait pas du tout. Mais quel con ! Qu’il aille faire ça ailleurs ! Maîtrisant lui aussi l’air (encore heureux, qu’aurait il fait sinon ?, il se servi de son pouvoir pour calmer la mini tempête créée par l’autre imbécile. Mine de rien, il eut quand même beaucoup de mal. C’est qu’il en déployait des forces. A se demander comment il faisait pour tenir. Les rafales de vent parties, Yuuki n’avait presque plus de forces et ressentait le besoin d’aller s’allonger rapidement, avant de tomber au sol. Il fusilla l’autre du regard, remarquant alors sa tenue légère sans faire de commentaire. Après tout, il pouvait bien faire ce qu’il voulait dans sa chambre, ça ne le regardait pas. A part la tempête. Sans rien dire, il alla récupérer ses affaires dans le couloir, et se dirigea vers le lit libre le plus éloigné de l’autre fou. Il se laissa tomber dessus, épuisé, et ferma les yeux, faisant le vide dans sa tête.

[salut ! J'espère que tu m'en voudras pas d'avoir répondu ! ]

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Sora était libre, cela faisait longtemps qu’il ne c’était pas libéré à se point ! Il sentait le vent, il était le vent, il était dans une transe terrible, il voulait que ça continue et que cela s’arrête en même temps. Il voulait être dévoré ! La totalité de son corps s’offrait au vent, l’air tournoyait dans cette pièce et s’abattait avec violence créant un carnage innommable, mais se carnage attaquait certes cette chambre mais plus encore, une telle tension était affreuse pour le jeune garçon responsable, son corps criait d’un plaisir malsain à cause de cette souffrance. Et, alors que la force des vents était à son apogée, l’ancienne prêtresse enfin prêtre sentit une contre-attaque au premier abor violente mais qui au finale ne faisait que calmé cette rage destructrice qui n’avait aucune raison d’être. Car, le simple désire de base était de purifier, chose qu’il avait fait, par la fin et l’annihilement des plus complet.

C’est donc peu à peu que cette force permis à Sora de se calmer pour se finir par un simple et léger courant d’air. Le jeune homme aux cheveux bleus se sentait vidé, mais aussi maintenant que l’effet droguant était partit il ressentit vivement de terrible douleur. Et ces douleur le prirent partout, il avait autant mal physiquement que mentalement. La tout de suite il avait qu’une seule et unique envie d’user ses cordes vocales comme jamais et d’hurler à la mort. Cela faisait bien longtemps qu’il n’avait pas appelé de tels forces, chose qu’avant il faisait presque couramment lui semblait donc si difficile et en plus de cela, il avait eu se combat. Cet attaquant inconnu était fort, enfin il avait un bon niveau. Enfin toujours est-il qu’après cette mordu la lèvre jusqu’à en saigner Sora ne résista plus … Il avait l’impression de devenir fou, de mourir, mais plus encore de se déchirer, il n’avait pas souvenir d’avoir déjà autant souffert. Et pourtant, il en avait eu des entrainements douloureux avec sa mère, mais jamais il n’avait été autant épuisé, fatigué et même blessé aussi bien physiquement que mentalement.

C’est pourquoi, après un peu moins de trois minutes de silence complet dans la chambre, Sora se mit à hurler de douleur, un cri de désespoir. Le libérant ainsi de sa douleur. Il ne ressemblait plus à rien, il c’était roulé en boule, se tenant la tête et remuait dans tous les sens poussant d’étrange cri. Il voulait exprimer des choses inexprimables, comment exprimer un tel supplice ? Bon, il ne faut peut être pas exagéré, il souffrait énormément physiquement mais c’est surtout mentalement qu’il avait l’impression de devenir fou. C’était maintenant dans sa tête qu’il avait l’impression que le vent soufflait, au fond de lui il espérait que se soit un signe en tant que future dévoré mais il savait parfaitement que non, c’était uniquement un contre coup d’un surplus de magie ne pouvant se calmer. C’est par ailleurs dans son cris que se surplus se fourra finalement libérant ainsi Sora de quasiment toute peine.

La magie de l’air allant si bien avec le son transforma alors se cris en un terrible bruit, donnant même forme à ces vibrations qui se propagèrent dans la salle donnant une migraine encore plus foudroyante à Sora et qui devait aussi très certainement causer quelque dommage à son compagnon de chambre. Mais, ce son plus puissant près de Sora lui provoqua plus qu’un mal de tête, il commença à saigner du nez, a cracher de la bile, il était on peu le dire clairement au plus mal. Sa vie ne pouvait pas finir aussi ridiculement tout de même, il c’était juré de mourir qu’une fois dévoré, à moins que cela ne ressemble à ça l’état dont il rêve depuis si longtemps. Mais il ne pouvait le croire, il était loin de cette plénitude totale, il ne subissait actuellement que le contre coup d’un abus de son pouvoir. Mais là, dévoré ou pas, il avait besoin d’aide s’il ne voulait pas mourir étouffé par sa propre bile.

Yuuki avait beaucoup peiné à rétablir l’ordre dans la chambre. Il n’avait pas encore vraiment vu le visage du mec qui était responsable de toute cette agitation, et s’en foutait un peu. Mais qui ce que soit, il avait un pouvoir sacrément élevé. Jusqu’à présent, jamais Yuuki n’avait eu à utiliser toutes ses forces pour contrer quelqu’un. Avant de se laisse tomber sur le lit, il lança un vague regard à la pièce. Tous les objets « volants » durant la tempête artificielle étaient retombés à terre et gisaient un peu partout dans la pièce. Il soupira, et se laissa tomber sur le lit, rebondissant légèrement au premier atterrissage sur le matelas.

Le silence s’était installé, et Yuuki en savourait chaque instant. Quel bien cela faisait, d’être allongé, ne rien faire, et ne rien entendre d’autre que les mouches voler, s’il y en avait, mais là, il n’y en a pas. En même temps, s’il y en avait eu, elles auraient été pulvérisées par la tempête. Epuisé, Yuuki ne tarda pas à sombrer dans le sommeil. Ses paupières étaient lourdes, et il était impossible pour lui de les rouvrir. Ses pensées, portées sur son frère, se perdirent vite pour se fondre avec ses rêves. Rapidement, il se retrouva avec Hideki, à passer du bon temps avec lui.

Malheureusement, cela ne dura pas bien longtemps. Yuuki fut soudainement tiré de son rêve pas un cri, provenant de l’autre bout de la chambre. Il ouvrit les yeux lentement, se les frotta quelques instants, et se redressa, se retrouvant ainsi assis sur son lit. Il se souvint alors de ce qu’il s’était passé avant qu’il ne s’endorme, se remémorant la tempête qu’il avait eu du mal à calmer. Le mec était à présent recroquevillé sur son lit, et hurlait. Ah putain ! Fallait qu’il soit tombé dans la chambre d’un chieur ! Au final, Yuuki en vint à se demander s’il avait bien fait de vouloir changer de lycée. Dans quelle merde s’était il foutu ? Il avait quitté son lycée tranquille, pour se retrouver chez les fous, apparemment. Dans un excès de rage, Yuuki s’emporta, et, usant de ses quelques forces restantes, il souleva un oreiller usant de son pouvoir, et l’envoya à toute vitesse s’écraser contre l’autre con. En même temps, il gueula, sur un ton agressif :

"Mais ta gueule, putain !"

Et bien sûr, comme il s’y attendait, cela ne servit strictement à rien. Et même pire ! L’autre abruti s’était mis à hurler plus fort. Enfin, c’était étrange. Il y avait autre chose de mêlé à ce cri, quelque chose qu’il n’avait jamais entendu. Et qui lui donnait des frissons. Yuuki soupira, et observa l’autre un moment. Il avait des cheveux clairs, étrangement bleutés. De là où il était, il ne voyait pas grand-chose, en fait. A part qu’il ne portait pas de vêtements. A quoique si, peut être. Il semblerait qu’il portait quand même un sous vêtements. Tsss ...

Soupirant encore une fois, Yuuki abandonna toute tentative de faire taire l’autre. Il se rallongea, et prit son oreille pour le mettre au dessus de sa tête et ainsi étouffer les sons. Mais même avec cela, il continuait d’entendre ce son si désagréable. Le jeune homme ne put s’empêcher alors de s’imaginer en train de l’étouffer avec l’oreiller qu’il avait balancé précédemment. Mais il devrait se retenir de le faire. Il ne voulait pas que tout recommence. Enfin, il aimait bien ses parents adoptifs, mais il ne leur faisait pas totalement confiance.

A travers l’oreiller, il entendit d’autres sons, en plus du cri étrange, et il se redressa à moitié pour jeter un regard vers l’autre. Yuuki cru alors apercevoir du sang. A présent, il semblait mal en point, et crachat. Crachait quoi ? Yuuki eut une expression de dégout sur le visage. Ce type l’énervait, mais en même temps, il ne pouvait pas le laisser dans cet état. Il soupira bruyamment et se résolu à se lever et aller vers lui. Arrivé au bord du lit, il s’arrêta et hésita un instant. Après tout, il pouvait très bien le laisser crever, il dirait qu’il ne s’était rendu compte de rien, ou pensait qu’il jouait la comédie. Ouais, mais non. Pas crédible, en fait.

Il sortit alors un paquet de mouchoirs de sa poche, et le jeta à son compagnon de chambre. D’un ton méprisant, il ajouta :

"Tiens, prends ça... "

Il attendit quelques secondes, laissant l’autre se débrouiller (ou pas). Voyant qu’il n’allait pas mieux, il finit par s’inquiéter légèrement, bien qu’il ne l’avouerait jamais. Il ajouta alors, d’un ton presque hésitant :

"Tu veux que j’appelle l’infirmière ?"

En même temps, il ne pouvait pas faire grand-chose. il n’est pas médecin, et ne s’y connaît pas du tout. Comment pourrait il l’aider dans ce cas ?

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